Illustration

Frédéric Back

L’Homme qui plantait des arbres

1987

II s’était retiré dans la solitude où il prenait plaisir à vivre lentement, avec ses brebis et son chien. Il avait jugé que ce pays mourait par manque d’arbres. […] Pour avoir une idée a peu près exacte de ce caractère exceptionnel, il ne faut pas oublier qu’il s’exerçait dans une solitude totale ; si totale que, vers la fin de sa vie, il avait perdu l’habitude de parler. Ou, peut-être, n’en voyait-il pas la nécessité ?

L’Homme qui plantait des arbres

Collection: Museum of Arts and Design - NYC
Text: Jean Giono, L’Homme qui plantait des arbres, 1953


Publié: Octobre 2016
Catégorie: Illustration

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